L’histoire derrière Méditamuse
1. Le soir où tout a basculé
Je m’appelle Georgina, maman de deux enfants et Méditamuse est né d’un soir où j’étais trop fatiguée pour continuer… mais où, paradoxalement, je ne pouvais pas m’arrêter.
Ce soir-là, tout semblait “normal” : le bain, les devoirs, les petites urgences, les “maman ?” qui s’enchaînent jusqu’à user la peau.
Mais à l’intérieur, quelque chose s’est effrité.
J’avais l’impression d’être devenue une fonction, pas une personne. Une présence qui gère, organise et anticipe tout le temps.
2. Ce moment où on ne sait plus comment exister
Quand je me suis enfin retrouvée seule, je me suis assise dans le noir, incapable de décider quoi faire.
Plus d’énergie pour méditer.
Plus de place pour réfléchir.
Juste un cerveau en surchauffe et ce besoin urgent que tout s’arrête.
Alors j’ai mis un simple son de nature.
Je me suis allongée.
Les mains sur les yeux.
Et, l’espace d’un instant… j’ai senti un minuscule relâchement.
Ça m’a rappelé que j’étais vivante, pas juste fonctionnelle.
3. La naissance d’un micro-rituel improvisé
Le lendemain, j’ai refait la même chose.
Puis encore le soir d’après.
Sans plan, sans intention, j’ai créé une sorte de micro-rituel du soir : un espace sans obligations, sans jugement, sans performance.
Un moment où je pouvais juste être, et pas seulement faire.
📌 4. La question qui a tout déclenché
“Pourquoi personne ne propose ça aux mamans ?”
Pourquoi il existe mille conseils pour être “efficace”, mais presque rien pour soulager celles qui portent toutl’émotionnel, les imprévus, la charge mentale invisible ?
5. Comprendre ce que je vivais : charge mentale et burnout maternel
J’ai alors commencé à lire. Beaucoup.
Sur la charge mentale, la fatigue décisionnelle, le burnout maternel, l’épuisement émotionnel.
Et j’ai compris que je n’étais pas fragile : j’étais en surcharge, comme tant d’autres femmes qui tiennent debout par instinct, pas par énergie.
Ce que j’avais improvisé n’était qu’une réponse instinctive à un cerveau saturé.
6. La transformation : de mon rituel “sauvage” à une méthode sérieuse
Plus j’avançais, plus je voulais que ce rituel devienne quelque chose de solide, profond, fiable.
Alors je me suis entourée :
- d’ingénieurs du son spécialisés en apaisement sensoriel
-de praticiens experts de la régulation du système nerveux
-de psychologues spécialisés dans le burnout maternel
Ce sont eux qui ont apporté leur expertise pour construire un rituel du soir réparateur.
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Parce que Méditamuse n’est pas un assemblage de sons :
c’est une construction pensée pour le cerveau d’une maman en surcharge, dans un ordre, une intensité et une progression qui ne sont pas reproductibles ailleurs.
7. La raison d’être de Méditamuse
Notre mission est profonde : accompagner les mères pour qu’elles se sentent comprises et reconnues dans ce rôle exigeant que la société valorise rarement.
Nous voulons créer un espace où chaque mère peut exister pour elle-même, sans jugement, sans performance, sans avoir à se justifier.
Méditamuse répond à ce besoin trop souvent ignoré : soutenir les femmes qui portent tout, mais dont le monde oublie la fatigue et l’humain derrière le rôle.
Méditamuse est une présence qui dit « je te vois, je te comprends » et rappelle à chaque mère qu’elle a le droit de se poser et de prendre soin d’elle-même.
8. Plus qu’un projet : un chemin pour revenir à soi
Si tu te reconnais dans ce que je raconte, alors prends ce chemin. Offre-toi ce moment rien qu’à toi, et commence à retrouver un espace pour te reconnecter à la femme que tu es vraiment.